Toulousaine, Djoa’ Alba, dès le berceau baignait dans un univers artistique.
Son père était peintre et sa mère « enfant de la balle » écuyère cascadeuse.
À l'âge adulte, elle suit les cours aux Beaux-Arts de Toulouse et, parallèlement à la peinture, elle est alors comédienne, metteur en scène, mime, chanteuse, auteur compositeur.
En 1999, elle décide de se consacrer entièrement à la peinture et à la sculpture.
Elle forge son univers artistique en créant sa propre technique picturale qu’elle baptise « L'EMPREINTE ».
A partir 2014 elle consacre la majeure partie de son temps à la sculpture
« DU PLUS PETIT AU PLUS GRAND » (technique Raku en passant par la sculpture
en bronze ou encore le marbre/ciment …)
Depuis 2017,’l’ART NUMERIQUE est aussi au rendez-vous "Union entre peinture et numérique"
A partir d’une œuvre originale, elle retravaille la mise en scène à travers le numérique (photo) qu’elle imprime sur une toile et qu’elle finalise avec ses pinceaux utilisant principalement la peinture acrylique et l’encre grasse …
Elle décrit ses peintures et créations d’art numérique ainsi que ses sculptures comme
des formes figuratives allant vers l’onirisme.
Ses œuvres sont mises en scène afin de déclencher chez le public, par la curiosité,
son imaginaire.
Elle utilise diverses techniques tant en peinture qu’en sculpture.
Pour la peinture et autres œuvres graphiques, elle utilise huile, acrylique, encre
grasse, sur de multiples supports, mais également l’outil informatique pour ses
créations numériques.
Concernant ses sculptures, elle utilise divers matériaux : La terre (technique du Raku), le bronze, marbre/ciment ,verre soufflé ...
Tombé dans le creuset du bronze à la fonderie d’art paternelle dès l’âge de 16 ans, Michel Ilhat
y a puisé l’amour de l’airain, mais aussi de la sculpture et de sa technique, et a ainsi façonné son
inspiration artistique.
Dompteur du feu et du métal en fusion, il crée depuis plus de 20 ans ses propres sculptures, de la
phase du modelage et de la création des formes et des volumes, à la coulée de bronze ou de la résine
puis à la patine.
Son œuvre est finesse et rondeur et met en scène essentiellement la nature et sa faune mais
également le corps humain, le tout dans un style tout en volume et en générosité. La femme trouve
une place prépondérante dans son inspiration, son œuvre exprime souvent son corps et le modèle
dans toute sa douceur et sa volupté.
Ses pièces sont de taille très diverses mais s’arrondissent toutes autant qu’elles s’étirent vers le ciel.
Ses créations peuvent être colorées ou s’exprimer en noir ou blanc, selon la dynamique qu’il souhaite
conférer aux volumes
Il utilise plusieurs techniques et matériaux afin de multiplier les sources d’émotions et d’inspiration.
Le bronze pour sa solide expression et la pérennité qu’il confère à l’œuvre. La résine pour sa finesse et l’accessibilité immédiate qu’elle offre à la sculpture.
Les techniques utilisées sont diverses et complètes puisque Michel Ilhat conçoit lui-même la
sculpture dans toutes ses phases de création : imagination, création des volumes et des formes.
Il réalise également toutes les étapes successives de la fonderie d’Art, à savoir le moulage
élastomère, le tirage en cire, le moulage réfractaire, le décirage et la cuisson de ce moule puis la
coulée du bronze à une température de 1080 degrés. Après démolition du moule, le bronze obtenu
est ciselé et poncé dans une ultime caresse suivie de la patine qui donnera la couleur à la sculpture.